Le lapin dans les phares
Pour pratiquer un génocide il existe deux manières, l'une traditionnelle ayant trouvé ses limites au milieu du 20e siècle et l'autre plus moderne dont voici les grandes lignes :
Le gaslighting
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Le gaslighting consiste en un détournement cognitif visant à déboussoler la personne sur ses propres perceptions, y compris d'elles-mêmes.
A travers la “narration du réel” se transforme la perception de la réalité, soit pour minimiser les perceptions individuelles soit pour les remplacer par d'autres.
Il s'agit de modifier les événements perçus, pour faire accepter l’inacceptable. L’histoire récente nous donne un parfait exemple de gaslighting : en faisant accroire à un peuple qu'il n'est pas un peuple mais tout au plus le fruit du métissage. La perception des événements se trouvent modifiés, l'objectif étant d'abattre tous les réflexes naturels d’autodéfense et d'instinct de conservation face à une réalité menaçante… on l'hypnotise. L'invasion d'un territoire et la mise en minorité de son propre peuple, (voire de son anéantissement) devient alors acceptable par un détournement cognitif empêchant le sujet de réagir.
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Par la promotion de nouveaux comportements en contradiction avec les canons traditionnels (mœurs, lois, religion, obligations communautaires…) la transmission s’interrompt, le sujet alors coupé de ses repères historiques est incapable de s'opposer à la réécriture de sa propre histoire, effaçant les combats des pères, la mémoire des anciens et l'oeuvre des générations.
Un génocide se pratique aussi sur le plan mémoriel, à l'instar des temples qu'on détruit, des cimetières qu'on profane, des œuvres d'art qu'on donne ou d'une Brigitte Macron effaçant les tableaux de la salle des fêtes du palais de l’Élysée aux visages assurément trop pâles, trop patriarches, trop offensant comme sortis d'une histoire devenue hérésie pour le ministère de la vérité.
A travers le cinéma, la télévision mais aussi l'éducation nationale, un véritable formatage de l'imaginaire devient possible.
La volonté et l'imagination étant deux forces essentielles, lorsque l'imagination est au service de la volonté rien ne peut arrêter cette force là. Par extension, un système de refoulement conditionné est en capacité d'anéantir l'observation du réel, la mémoire collective, l'instinct de préservation. Un tel lavage de cerveau nécessite une prise en charge au plus tôt, dès la plus tendre enfance, parce que plus faible, plus vulnérable, plus influençable, le gaslighting sera d'autant plus efficace, le génocide d'autant plus accepté.
Désorienter une masse n'est pas chose facile. Afin d'assurer la réussite d'une telle aliénation collective, la totalité du spectre doit être investie, comme le disent les américains“full spectrum dominance”.
La création d'un ennemi imaginaire, symbolique venant interagir avec une réalité problématique permet de repousser les problèmes réels hors du réel (ex: la lutte contre le fascisme). Un ennemi imaginaire permet aussi de dévier la colère légitime contre les personnes capables d’apporter des solutions. Un autre point vital trop souvent négligé est celui du droit: “L'homme est un animal symbolique animé du besoin de croire”. En changeant la loi, les symboles s'inversent délimitant un nouveau champ du licite et de l’illicite.
“Il est licite qu'un noir pende tes petites têtes blondes sale raciste”-
L'impuissance apprise
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Une fois la volonté de vivre détruite et le processus enclenché, comment faire accepter la sauvagerie subséquente à l'immigration de peuplement ? Viols, agressions, égorgements ou encore l'innommable, les attentas contre vos enfants, pain quotidien du pigeon domestique au regard hébété.
Réconciliation : Paris au bout d'une heure quand la police laisse les immigrés circuler... Les gauches se confrontent au réel.
Lorsque la volonté de vivre laisse place à l’indolence : «l'impuissance apprise se caractérise d’abord par le sentiment que la situation que l’on vit est permanente. Elle s’exprime dans notre vocabulaire par l’utilisation des mots “toujours”, “jamais”, “rien”, “tout”, “personne”… Ce sont là des généralisations qui nous donnent le sentiment que ce sera toujours comme ça, que ça ne reviendra jamais, que l’on ne peut rien faire, que tout le monde est comme ça, que personne ne comprend”. Par conséquent l’utilisation de ce vocabulaire sur certains thèmes ne sont pas anodins : «ça a toujours existé, on n'en parlait pas avant, pas d'amalgame, c'est à cause du racisme, nous sommes tenus par des traités, on ne peut rien faire, le mieux c'est de les accueillir…».
Mesdames, messieurs, voici la neurasthénie des chefs, voici l'impuissance apprise !
“Stopper l’immigration est impossible !”Il s'agit d'entraver toutes volontés d'actions de changer le cours des événements. Oui ça marche ! C'est un apprentissage fonctionnant par la répétition de douleurs, les chercheurs ont découvert que lorsqu'un «animal» est soumis à des « stimulations nociceptives inévitables, celui-ci renonce à tout comportement d'évitement [il se résigne à] l'immobilité. Ce comportement persiste même lorsque les stimulations nociceptives sont évitables. » Le sujet devient apathique, le désespoir le rend incapable d’autodéfense ou simplement d'espoir.
Depuis 2009, l’administration Obama a conclu que l'utilisation de ces méthodes étaient équivalentes à la torture, leur usage a été officiellement interdit.
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Promotion du métissage par les femmes & des sexualités non reproductives
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Au Congo, le viol des femmes est utilisé comme une arme de guerre: lorsqu'une femme passe sous un étranger elle est alors automatiquement rejetée par son groupe originel, ce réflexe est naturellement conditionné chez tous les peuples du monde.
Si en occident les femmes occidentales sont précisément érigées candidates favorites au métissage par toutes les élites et tous les médias, c'est que le résultat recherché est le même : rendre impossible le renouvellement des générations du peuple visé. Combien d'enfants peuvent naître s'il ne reste qu'une femme pour 1000 hommes ? Très peu, c'est la raison de cette propagande à sens unique. A l'inverse si un homme est présent pour 1000 femmes le résultat potentiel est différent. Via la promotion du métissage tourné vers les femmes occidentales et l’importation de millions d'hommes venus d'ailleurs il faut reconnaître qu'il ne reste que peu de doute sur les intentions réels d'une telle propagande imposée à chaque femme du monde dont l’éclat semble trop lumineux pour certains.
«Toi le noir, viens en Europe et je te garantis le cul des blanches.» S.Jacob
Pour les hommes restés sur le pavé et les quelques récalcitrants aux injonctions interraciales, la promotion des sexualités non reproductives permet un effet multiplicateur :
Pour le déséquilibré, faire passer sa pathologie comme norme est essentiel, quoi de mieux que des enfants pour assouvir son désir.
L'assignation identitaire est un obstacle majeur à l’hégémonie d'un homme nouveau débarrassé de tout prédéterminisme capable de s'opposer à l'idéologie dominante : l'égalité entre les hommes et le vivre ensemble. Alors qu'un enfant confond souvent sa droite et sa gauche, il lui est impossible de faire face à la promotion continue d'une humanité désaffiliée renonçant à l’existence même des sexes ou d'une quelconque réalité extérieure à ses propres désirs. Les communautés naturelles laissent place à des individus isolés, à des «néo-tribus». Les pires utopies deviennent certitude et la «société liquide» pour celui dont l’existence se réduit à consommer pour jouir et à se sociabiliser pour y parvenir.
Depuis 2019 la Finlande oblige les adolescents à regarder un film faisant la promotion d'une histoire pédéraste entre un adolescent de 17 ans et un homme plus âgée.
Le statut de minorité est amalgamé à celle de victime depuis l'institution de la shoah donnant une onction supérieure et morale à celui qui en bénéficie.
C'est une nouvelle religion dont l'accomplissement passe par l'anéantissement d'un peuple. A la fois par le métissage de ses femmes et la déconstruction de ses hommes, la seule possibilité étant pour ces derniers qu'ils renoncent à procréer pour en définitive, obtenir le statut de minorité.
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L'isolement
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Pour déployer pleinement ces méthodes, le processus nécessite d'être accepter par la population . Par un arsenal pénal toujours augmenté permettant la mise à mort sociale des opposants et la propagande continue honorant le progrès des idéologies dominantes. L'isolement des personnes devient nécessité, il faut dire qu'en réduisant les informations d'un sujet aux seules données admises par le pouvoir, l’instinct de survie se trouve alors orienté par celui qui informe. L'informé se trouvant incapable de le faire sans les intermédiaires autorisés et sous contrôle.
Si des individus sortaient collectivement de l’isolement voulu, s'en suivrait inévitablement une prise de conscience capable de renverser la situation.
L'homme étant un animal social, son instinct de survie lui commande de rester dans ce qu'il perçoit comme étant la norme sociale, il lui commande aussi de se faire accepter du groupe. Aussi, toute position contradictoire mettant en cause la norme sociale, contient en lui le risque de l'exclusion, en somme, la mort dans un milieu naturel. Les instincts du sang nous livre là une séquence, c'est pourquoi la solitude est une torture pour l'homme, c'est pourquoi isoler les gens permet de modifier leurs instincts de survie via la présence que procurent les grands médias. Voilà comment l'auto-censure des mots apparaît lorsque la perception de la norme sociale est sous contrôle. Les gens n'osent plus dire ce qu'ils voient de peur d'être ostracisé socialement.
L’isolement généralisé des personnes permet d'orienter leurs perceptions de l'opinion majoritaire. L'instinct de survie aidant, il est alors possible de faire consentir les pires choses à une population.
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Les européens combattront s'ils se souviennent de qui ils sont.
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Que Dieu nous vienne en aide.