Lorsqu’un catholique aborde le sujet du racisme, ses adversaires brandissent souvent l’argument fallacieux selon lequel l’Église aurait condamné le racisme. Il est très important de comprendre que l’Église ne condamne pas le souci de préservation de l’intégrité raciale d’un peuple mais une certaine forme de racisme qui s’apparente à un réductionnisme biologique.
Un document capital, mais bien oublié, permet de saisir plus précisément cette nuance :
Il s’agit de la lettre du 13 avril 1938 émanant de la Sacrée Congrégation des Séminaires et des Universités (dont le pape en personne était le préfet) et adressée à toutes les universités catholiques du monde. Cette lettre exprime six conceptions excessives du fait racial à rejeter :
1) Les races humaines, par leurs caractères naturels et immuables, sont tellement différentes que la plus humble d’entre elles est plus loin de la plus élevée que de l’espèce animale la plus haute [comprendre : le noir est plus proche du singe que de l’homme].
2) Il faut, par tous les moyens, conserver et cultiver la vigueur de la race et la pureté du sang : tout ce qui conduit à ce résultat est, par le fait même, honnête et permis.
3) C’est du sang, siège du caractère de la race, que toutes les qualités intellectuelles et morales de l’homme dérivent, comme de leur source principale.
4) Le but essentiel de l’éducation est de développer les caractères de la race et d’enflammer les esprits d’un amour brûlant de leur propre race comme du bien suprême.
5) La religion est soumise à la loi de la race et doit lui être adaptée.
6) La source première et la règle suprême de tout l’ordre juridique est l’instinct racial.
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L’Église condamne donc ces 6 formes de racismes. Ce qui est tout à fait conforme à la doctrine catholique :
1) Même le plus humble des noirs répond à la définition de l’homme : animal social ayant une âme insufflée par le Bon Dieu.
2) Nous refusons totalement la maxime judéo-communiste « la fin justifie les moyens »: il ne faut pas utiliser n’importe quels moyens pour assurer la pureté raciale ; ceux-ci doivent être conformes aux principes généraux de l’équité et de la charité. Nous rejetons ainsi la stérilisation ainsi que l’extermination de masse. En outre, malgré toutes les lois saines pour préserver la nécessaire cohésion raciale, un infime métissage ponctuel est malheureusement inévitable mais sans grande gravité pour l’équilibre racial.
Naturellement, nous interdirons le métissage et son esprit, les lois du bon roi Louis XVI seront remises en vigueur et appliquées : « les noirs, mulâtres et autres gens de couleur » et métis n’auront pas le droit de séjourner sur le territoire national, ne pourront y exercer aucune activité, ne contracter aucun mariage avec les européens etc… Ainsi la France et l’Europe redeviendront blanches, ainsi que voulu dans le plan du Créateur, pour de nouveau porter et étendre la bannière du Christ-Roi.
3) C’est seulement au titre de cause instrumentale de genèse d’une certaine culture que le patrimoine biologique raciale doit être pris en compte et qu’il ne saurait l’être de manière absolue, puisque la pensée fait intervenir des éléments qui ne sont pas matériels, donc irréductibles au simple monde physique.
Pour illustrer notre propos, rappelons que nous aurons plus de respect pour un noir qui vit dans son pays selon de saines valeurs (catholicisme, refus de l’égalitarisme, sens de l’effort et du don de soi au profit de sa communauté et de sa famille…), que pour un blanc décadent, gauchiste, défenseur du métissage, de l’hédonisme et du subjectivisme. Pour autant, bien que nous reconnaissions la valeur de l’africain précédemment évoqué, il n’aura pourtant, au nom de la distinction entre la valeur morale et la nécessité biologique, aucune légitimité à s’installer en Europe.
Nous rejetons le principe matérialiste de l’absolue raciale, ne souhaitons pas créer de nouveau veau d’or ou autres idoles. Notre absolu est le Christ, Vérité incarnée, qui nous a généreusement donné notre race qui vient donc en « deuxième absolue » dans la logique suivante : Dieu – Race – Europe – Nation – Famille. Ne pas respecter l’ordre de ses étapes revient à tomber dans l’idolâtrie.
4) Comme dit précédemment, le bien suprême de l’homme est le Bon Dieu et sa fin dernière est la vision béatifique. Le but essentiel de l’éducation est alors de développer les caractères spirituels catholiques en priorité ET les caractères naturels de la race.
5) et 6) La source première du droit est à chercher dans la raison (spécifiquement identique en tout homme et diversement participée) et la religion catholique assume en les dépassant toutes les exigences de la raison naturelle. Encore une fois, c’est la race qui est soumise à la saine loi de la religion (et non l’inverse) comme nous avons pu le voir dans les points 2) et 3).
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Nous affirmons donc que :
- Le Bon Dieu a créé différentes races bien distinguées et séparées avec les épisodes bibliques et théologiques de la malédiction des descendants de Cham par Noé et de la Tour de Babel. Il faut donc respecter la Volonté Divine et ne surtout pas se métisser. Il faut interdire le métissage, sa propagande et son esprit. Il faut remigrer ou déporter tous les « extras-européens » qui vivent actuellement sur le sol européen qui doit redevenir celui de la race blanche. Le projet de métissage global fait d’ailleurs parti d’une tendance idéologique nous amenant à un nouvel ordre mondial visant à détruire les déterminismes naturels des peuples, ethnies, races.
- L’Histoire de l’humanité prouve que certaines races sont supérieures à d’autres dans certains domaines. C’est ainsi que nous rejetons le principe du racialisme qui n’admet l’existence des races que pour les placer sur un pied d’égalité.
- En outre, nous affirmons haut et fort avec le doctrinaire canadien-français Adrian Arcand – fondateur du Parti National Social Chrétien – que la race, la constitution du sang, avec les aptitudes propres à son essence, est un produit de la loi naturelle. Si l’homme se donne sa langue et sa nationalité, il ne se donne pas lui-même son sang et sa race. Il le reçoit sans rien pouvoir y changer, il le subit, le transmet selon qu’il l’a reçu.
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Le racisme est donc un aspect de la Loi naturelle qu’il faut respecter, qu’il faut admettre et comprendre.
Si, une fois que l’âme se sépare du corps, le racisme ne signifie plus rien pour le moi personnel, il a, durant la vie humaine, une signification dont l’importance est proportionnelle à la Loi naturelle qui le régit.
Nier le racisme, c’est nier une Loi naturelle.
Combattre le racisme, c’est combattre une loi positive.
Vouloir se libérer du racisme, c’est susciter le libéralisme contre une loi naturelle plus forte que les hommes et au-dessus des hommes. Et, dans le domaine raciste comme dans tous les autres, le libéralisme ne peut qu’apporter déchéance, dégénérescence, désordre et chaos.
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Voilà pourquoi nous pouvons clamer haut et fort que notre racisme n’est nullement criminel et ne contredit en rien la doctrine chrétienne car notre racisme est tout simplement catholique. Deus Vult †
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